© Mathieu Spadaro
Certains médias l’ont surnommé « le cendrillon de la musique » car l’histoire d’Hugo Barriol pourrait nous faire penser à un conte de fée.
Tout commence lors d’un long voyage au bout du monde, en Australie. Après quelques mois à Sydney où Hugo ne trouve pas de travail, il s’en va jouer ses chansons dans le métro pour y gagner quelques sous. C’est là que naît l’idée d’aller jouer dans le métro Parisien. Il croise alors le chemin de la directrice du label Naïve, Marie Audigier et signe son 1er contrat en maison de disque. Sans le savoir et quelques semaines avant que la pandémie paralyse le monde, Hugo rentre à Paris et y restera, bloqué, confiné.« Glory days » fut la première chanson, composée pendant le confinement. Le ton est alors donné, les nouvelles chansons seront plus grandes, plus fédératrices, comme un retour à la vie et l’envie de vivre fort. Hugo a aussi renoué avec son premier amour musical, la batterie et les percussions, pour leur donner une place centrale dans la composition de ces 4 nouvelles chansons pop folk, tout en gardant la douceur de sa guitare acoustique et de ses textes à fleur de peau. Les mélodies célestes continuent de nous faire voyager avec cette voix, bel et bien unique.
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